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La sociologie visuelle connaît depuis quelques années un regain d'intérêt au sein de la communauté sociologique : les documentaires de Robert Flaherty, de Jean Rouch, de Raymond Depardon ou de Frederick Wiseman, les films de Dziga Vertov, de William Klein, de Jacques Tati ou de Ken Loach, les photos d'August Sanders, de Walker Evans, de Nan Goldin ou de Martin Parr font désormais partie intégrante de la culture sociologique. Il serait donc regrettable qu'ils échappent à la formation en sociologie à l'université sous prétexte qu'il s'agit là de cinéma ou de photographie, d'autant que la photographie et la vidéo sont des outils dont le chercheur doit se saisir pour comprendre ce que regarder veut dire. C'est en partie à quoi s'emploie cet ouvrage qui se présente autant comme un plaidoyer pour l'usage étendu de l'image en sociologie que comme un manuel destiné à s'exercer à la sociologie visuelle en développant des compétences propres au « regard sociologique ». La sociologie visuelle s'avère à cet égard un merveilleux instrument d'investigation sociologique qui se double d'une pédagogie du regard.
Daniel Vander Gucht est docteur en sociologie, chef de travaux à l'ULB où il dirige le groupe de recherche en sociologie de l'art et de la culture ainsi que la Revue de l'Institut de sociologie. Il a fait paraître sous sa direction Art et société (Les Éperonniers, 1989), avec Nathalie Heinich et André Ducret La Mise en scène de l'art contemporain (Les Éperonniers, 1990) et avec Frédéric Varone Le Paysage à la croisée des regards (La Lettre Volée, 2006). Il est par ailleurs l'auteur de L'Art contemporain au miroir du musée (La Lettre Volée, 1999) ; Art et politique (Labor, 2004) ; La Jalousie débarbouillée (Labor, 2005) ; Ecce homo touristicus (Labor, 2006) et L'An passé à Jérusalem (La Lettre Volée, 2009) ; L'expérience politique de l'art. Retour sur la définition de l'art engagé (Les Impressions Nouvelles, 2014).