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L’apparition des mégafeux, leur développement, leur persistance et leur brutalité ont mis en évidence plusieurs problématiques environnementales contemporaines auxquelles les paysages doivent faire face. Et, en vérité, l’expérience extensive de l’incendie permet aussi de révéler la puissance existentielle, psychologique et morale des paysages sur la vie humaine, individuelle et collective. La disparition brutale, par le feu, de leurs paysages vécus, quotidiens, installe un sentiment durable d’absurdité dans l’existence des hommes et des femmes qui y vivaient ou qui les fréquentaient. Cependant, face à ce feu destructeur, d’autres représentations et d’autres attitudes sont également possibles. Le feu fait partie des pratiques culturales les plus anciennes, un peu partout sur le globe. Les feux contrôlés jouent un rôle important dans l’entretien et le nettoyage des sols, et dans leur régénération. Outre le feu du travail et de la production, il y a le feu domestique, le foyer, cette source de chaleur et de lumière qui a été longtemps le centre imaginaire de l’intimité familiale et de l’hospitalité visà- vis des étrangers. Le feu accompagne la vie sociale, dans ses moments de peine comme dans ses moments festifs. Le feu est vie et mort, mort et vie. Il est passage. Il crée et détruit les paysages, il les métamorphose.