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Cette approche ethno-critique du roman de Flaubert nous permet d’échapper enfin aux réductions psychologisantes, si habituelles, et aux stéréotypes culturels, si fréquents dans la lecture littéraire. L’étude fait entendre les différents charivaris que connut le bruyant XIXe siècle, charivaris matrimoniaux traditionnels, bien sûr, mais aussi scolaires, artistiques et industriels, charivaris qui résonnent tout au long de l’œuvre au point de se confondre avec l’écriture même du roman. Cette lecture fait ressortir l’étonnante culture folklorique de la fiction et nous révèle le rôle textuel des araignées, de la place, du pilon de l’Aveugle, de la fête des Rois, des personnages carnavalesques et des valeurs de carême, de la société paysanne, juvénile ou petite bourgeoise, voire encore du contrôle communautaire direct ou médiatisé des mœurs. On comprend mieux comment Emma — Madame Charbovari — prise en tenailles entre la culture coutumière villageoise et les stratégies homaisiennes (pleines d’avenir) de contrôle du champ social, s’épuise à conquérir, moderne et solitaire, une vie personnelle plus intime et plus forte. En fin de compte, ce livre interroge le partage entre culture lettrée et culture ordinaire et conduit le lecteur à sa propre ethnologie.