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Cet ouvrage propose un dialogue improbable, imaginaire et auquel il essaie néanmoins de donner corps, entre un film de fiction, Blow up (Antonioni,1967) et une série de films à caractère anthropologique regroupés autour de thématiques en écho à celles développées par Antonioni : le regard, le cadre, la notion d'intervalle, le détail. À la fois point de départ et d'arrivée, ce film est observé, analysé de l'intérieur, à partir de sa trame textuelle et visuelle propre ; il est étudié en tant qu'oeuvre, ouverte et fragile, acte inaliénable de l'esprit qui en fait un objet définitivement contemporain.
Cette « conversation » n'a pas vocation à démontrer qu'Antonioni est un ethnologue, ce serait absurde, ni que l'anthropologie est toujours un travail sur la fiction. Il s'agit simplement de questionner la discipline à partir d'un détour et d'expérimenter une voie possible et pensable de compréhension du monde. Ce travail n'entend pas ouvrir un champ nouveau ni opérer une révolution. Il propose plus modestement d'effectuer une escapade sur des chemins de traverse, mû par la seule curiosité de savoir s'il est possible de penser l'anthropologie visuelle en dehors du cinéma documentaire. Non pas une anthropologie sur mais une anthropologie avec, avec la fiction, le cinéma, l'art.