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Jean Rostand continue à tirer de la biologie des enseignements propres à faire réfléchir utilement le philosophe, le psychologue et le moraliste. Il montre, en particulier, comment les dernières découvertes de laboratoire sont en voie de modifier profondément les grandes notions humaines, et notamment celles de personne, de procréation et de mort. Les mots : être, enfanter, mourir, n'ont plus aujourd'hui tout à fait le même sens qu'ils avaient hier. Ainsi, qu'on le veuille ou non, c'est bien un véritable et nouvel humanisme qui s'édifie sous nos yeux, dans la mesure où non seulement la biologie élargit et précise notre connaissance de l'homme, mais encore augmente les pouvoirs dont l'homme dispose à l'égard de sa propre nature. On trouvera aussi, dans Biologie et humanisme, d'importantes études historiques sur l'évolution des idées transformistes, sur la génétique avant Mendel, sur la pensée biologique de Diderot, sur Fontenelle épistémologiste, etc., et enfin un savoureux et profond éloge de la grenouille – tout à la fois confession et profession de foi – où Jean Rostand nous dit, avec sa netteté et sa chaleur habituelles, ce que représente pour lui l'animal auquel il a, depuis un si long temps, consacré tant d'études.