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L'indigence dans laquelle ont vécu la majeure partie des Algériens dans la période coloniale française de 1830 à 1962 fut insupportable. Ni les réformes économiques, sociales ou psychologiques envisagées un temps n'auraient pu assouvir l'idéal de libération qui habitait alors cette population. La colonisation en Algérie était un système qui fut mis en place vers le milieu du XIXe siècle installant dans la servitude les « Indigènes » et qui s'incarna dans les colons, fils et petits-fils de colons. Une tension légitime s'exerça entre l'universalité républicaine de la métropole et l'exploitation oppressive des indigènes. Une des fonctions du racisme était bien de faire de ces Algériens des sous-hommes qui ne pouvaient prétendre aux mêmes droits que les colons. Le système colonial a produit des représentations justifiant cette tyrannie en s'appuyant sur la « science ». Cet essai propose de faire apparaître les sources de ce mode de pensée raciste qui perdure encore aujourd'hui dans l'inconscient collectif français envers la population d'origine maghrébine.