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Six cent vingt ans après, le héros et le décor de « La Jacquerie de Paris » retrouvent une curieuse actualité dans l’affaire de la mairie de Paris et tous ses prolongements. En 1358, la Jacquerie dans la capitale, où Étienne Marcel impose sa loi au pouvoir royal, trouve son écho dans les campagnes où les Jacques — appelés les Effrois — imposent la loi des révoltés contre la noblesse épouvantée. Tout va se jouer dans les sept premiers mois de cette année terrible, qu’Anne-Marie Cazalis, dans son récit, découpe avec une précision d’historienne et une passion de romancière. C’est dans le village de l’Oise où elle réside qu’elle a écrit cet ouvrage, en puisant dans les archives locales. Car c’est là qu’est née la Jacquerie, et là qu’elle a été écrasée, entraînant la chute et la mort d’Étienne Marcel. La tragique leçon historique de 1358, est à lire et à retenir, au milieu des affrontements politiques d’aujourd’hui.