
Montaigne et la Boétie, la truffe et le caviar, Fénelon et Joséphine Baker, les silex du musée de l'Homme et les réalisations futuristes de Jean Nouvel, la gastronomie et les couteaux de Nontron, la porcelaine d'Hermès et les dirigeants historiques du Printemps... Les traces du Périgord à Paris se sont avérées finalement bien plus nombreuses que prévu.
Leur recension a été l'occasion d'une déambulation réjouissante dans les rues de la capitale. Les petits savoirs historiques se mêlent alors à des rencontres parfois inattendues, à des considérations saugrenues ou impertinentes et même à quelques rêvasseries poétiques.
Comme une invitation à l'étonnement, cette » flânerie contrainte » prétend aussi rappeler ce que Paris doit à la province. Une occasion pour s'amuser au jeu des différences entre la grande ville éblouissante et la belle campagne périgourdine.
Notre propos est joyeusement accompagné par les petits dessins de l'ami Daniel Maja, dessinateur historique du Magazine littéraire et - le malheureux - parisien.
Terre natale ou terre d'adoption, chacun de nous s'est intimement construit avec un pagus, un « petit pays ». Loin de l'évanescence des flux et du tourisme formaté, les auteurs sauront faire surgir de leur enracinement une poésie singulière, nourrie d'histoires et de mythes, de géologie et d'amours, d'architecture et de rêve. Un véritable carnet de voyage intérieur.
Cette aventure se présente sous la forme d'une libre déambulation, entre autobiographie et perception sensible. Des paysages à redécouvrir, à revivre, à imaginer autrement.
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