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Quand se rallume la guerre franco-anglaise, les routiers ne veulent plus briser les amitiés nouées au cours de la campagne espagnole de Du Guesclin. Hugues de Calveley retourne en Angleterre. John Hawkwood, ancien apprenti tailleur de Londres, grand ami de Torcol, va proposer sa lance libre (free-lance) aux nouveaux maîtres d’Italie, tous marchands rusés et déjà amis des arts. Ils font de lui le premier condottierre sous le nom de Giovani Acuto (le Pointu). Torcol suit le mouvement, il est engagé par le premier des Médicis. C’est le temps où le pape d’Avignon, un français, retourne à Rome où il meurt. Sa succession est l’objet d’une autre guerre, à l’italienne celle-là, c’est-à-dire d’une grande férocité, pétrie d’intelligence et de coups bas. La Renaissance déjà née ne peut s’épanouir que sur un terreau riche en abominations. Lassé encore une fois, Torcol profite d’une « abstinence de guerre » (on ne disait plus la paix) pour revenir au pays gavache qui l’a vu naître, et vient s’installer à Bordeaux, sa véritable patrie de cœur. Dans ce tome inédit, l’écriture de Jean-Marc Soyez est rude et fleurie : c’est celle de l’Aquitaine paysanne du XIV° siècle, une Aquitaine véritable, qui s’étendait encore de la Loire aux Pyrénées. Sa langue comble aussi le lecteur par sa poésie et son humour.