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« Querelles » retrace les tensions d’un village mayennais, en 1906, lors de l’application de la loi de séparation des Églises et de l’État. À travers le regard d’Ernestine, jeune fille de treize ans, le récit explore les divisions internes – catholiques opposés à la République, préjugés antisémites exacerbés par l’affaire Dreyfus, craintes vis-à-vis des Juifs. Les paysans, galvanisés par des figures comme Anselme et Mathurin, s’arment pour repousser gendarmes et services fiscaux venus inventorier les biens de l’église, croyant défendre leur foi et leur identité villageoise.
Ernestine, soutenue par son frère Georges et son ami Simon – fils d’une famille juive ostracisée – cherche à calmer les esprits, prônant l’union et la chaîne humaine non-violente. Sa voix d’enfant peine à convaincre au milieu des hostilités, des rumeurs et de la violence qui éclate sur la place du village. La confrontation finale oppose barricadiers et forces de l’ordre ; Simon est grièvement blessé par une balle, révélant la haine d’Anselme et de son réseau clandestin. Le procès d’Anselme met au jour l'antisémitisme sous-jacent du village, mais la réconciliation commence à s’esquisser avec la réhabilitation de Dreyfus et la parole du prêtre et du maire pour la paix et le respect de tous. En filigrane, le roman peint la vie rurale, les gestes quotidiens, les traditions, mais surtout la soif de justice et d’émancipation d’une génération qui refuse la fatalité des querelles ancestrales.