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Une image surprenante : Robert Herbin debout et impassible devant son banc de touche dans un stade en délire, ivre de bonheur après le but “historique” de Rocheteau contre Kiev. Ce n’est qu’apparence. Le cœur d’Herbin bat la chamade. Il a envie de crier sa joie, mais la raison l’emporte car la partie n’est pas finie... On m’appelle le Sphinx, c’est d’abord la découverte d’un homme qui évolue hors des sentiers battus et qui cache derrière la froideur du geste un grand feu intérieur. Le personnage énigmatique devient homme tout simplement. Un homme généreux, chaleureux qui conduit sa vie à coup de volonté, de patience et d’honnêteté. Il n’a qu’une ambition : être fidèle à lui-même, ne jamais tricher. On m’appelle le Sphinx est aussi le récit de l’aventure d’un joueur et d’un entraîneur au service de l’A.S. Saint-Étienne. Une aventure jalonnée de fabuleux exploits qui ont fait se dresser la France entière. De Split à la finale de Glasgow en passant par Kiev, Chrozow, Eindhoven, etc., Robert Herbin, l’homme le plus titré de toute l’histoire du football français, mieux que Kopa et Batteux réunis, décrit avec un enthousiasme de junior ces années d’ivresse et de gloire. Mais il présente surtout avec chaleur tous les hommes qui l’ont accompagné dans l’épopée européenne des Verts. On m’appelle le Sphinx, c’est enfin le drame d’un homme bouté hors de Saint-Étienne après vingt-cinq ans de fidélité...