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Il existe, aujourd'hui, un engouement pour le phénomène forêt et pour l'individu arbre. Cela relève parfois d'un écologisme facile, parfois de mythes, de plus en plus souvent de réactions de compensation à une existence trop urbaine. Cela tient aussi à des soucis scientifiques : gestion sensée des ressources naturelles, par exemple, ou préservation de cette « banque génétique » que représente un complexe forestier. La forêt peut n'être appréciée que comme paysage végétal. Elle mérite plus. La richesse de l'histoire de ses constituants et celle des structures qu'ils réalisent, en font un milieu de vie à la fois profondément diversifié et profondément autonome. La multitude des interactions, entre les hôtes de ce milieu, celle des éléments de son architecture, en font un système particulièrement équilibré. L'Homme a détruit ou défiguré bien des forêts. On a peut-être dépassé le creux de la vague, et l'on peut espérer que les actuelles prises en charge ajoutent un caractère qualitatif aux remarquables reconquêtes quantitatives des sylvicultures.