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Des cadres de vie, ce ne sont ni des milieux, ni des environnements, ils marquent, par rapport à ces derniers, un dépassement, un certain accomplissement. Et ce, du fait de l’homme. Le milieu peut être assimilé à un champ de forces physico-chimiques et biotiques. L’environnement n’a pas même cohérence : c’est, par rapport à un sujet central, un espace dont les éléments peuvent être disparates. Sensible aux contraintes et aux sollicitations du milieu, mais dégagé des déterminismes écologiques, doué de réflexion et capable de choix, l’homme organise les éléments d’un environnement en créant des cadres de vie. Suivant les conditions offertes par les milieux, mais aussi suivant les moments des histoires économiques, sociales et culturelles, ces cadres de vie diffèrent, évoluent, se cumulent souvent, se remplacent parfois. Du fait des choix de société, deux grandes voies ont traditionnellement été pratiquées : celle des cadres de vie à dominantes écologiques — proches de la terre, celle des cadres de vie à dominantes éthologiques — urbains. Aujourd’hui, on peut craindre à la fois éclatement et homogénéisation des cadres de la vie humaine, dans l’irrésistible mouvement de « planétarisation » que l’on constate. C’est la marque de l’évolution de l’humanité apprivoisant sa terre. Elle comporte beaucoup de négatif — des pollutions à la dépersonnalisation de cadres de vie devenus marchandises — mais le catastrophisme ne réglera pas mieux les problèmes de cette évolution que la confiance dans la redécouverte des liens personnels, affectifs et responsables qui ont permis la création des cadres de vie authentiques.