Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Enquête sur la "machine à cash" du FN " Tête haute, mains propres ", proférait le père. " Tête haute, mains blanches ", lance la fille en avril 2016, au lendemain des révélations sur les opérations financières de deux de ses proches, épinglés dans l'affaire des " Panama Papers ". Mais l'affaire qui menace le plus Marine Le Pen est d'une tout autre ampleur. Il s'agit de ce qui pourrait être considéré comme une gigantesque escroquerie au détriment du porte-monnaie des contribuables. Durant trois ans et demi, ce système a fait l'objet d'une enquête fouillée de la brigade financière, puis de deux juges d'instruction spécialisés dans la lutte anti-corruption. Elle a été bouclée en octobre 2016 et aurait, en toute logique, dû être jugée avant la prochaine élection présidentielle. La présidente du FN a multiplié les recours juridiques pour repousser l'échéance, allant jusqu'à mettre en cause les juges eux-mêmes... Dans les hautes sphères du pouvoir, certains craignaient aussi sans doute qu'un tel procès fasse le jeu de Marine Le Pen. Qu'il alimente sa stratégie de " victimisation " de candidate ciblée par l'" establishment " et que le bruit de la défense de l'extrême droite – fût-elle mensongère – grossisse encore les rangs de ses électeurs. Ce livre fait le pari inverse. Il postule qu'en démocratie il n'y a pas de citoyen trop informé et qu'avant de déposer un bulletin dans l'urne, mieux vaut en savoir le plus possible sur les faits et gestes des candidats. Surtout quand ceux-ci flirtent allègrement avec l'illégalité et sont soupçonnés d'avoir détourné massivement de l'argent public. Il ne s'agit pas de juger avant la justice, mais de livrer au public des éléments d'information propres à éclairer ses choix.