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Le 9 septembre 1980, François Missen est arrêté à Kandahar par la Sécurité afghane, qui l’avait repéré et suivi depuis son entrée clandestine dans le pays, quelques semaines auparavant. Avec ses compagnons Antoine Darnaud, le cameraman, et Osman Baraï, le guide, il effectuait une enquête au sein de la Résistance. Avec eux il pourrira en prison pendant deux mois, soupçonné d’espionnage au profit de la CIA, ni inculpé, ni jugé, ni condamné. En attente. Alors commence la découverte de l’emprisonnement, le compte des heures en barreaux de cellule, la peur de la torture, de l’oubli, surtout de l’oubli. Aucune commission internationale n’entre jamais ici. Après deux mois d’interrogatoire, deux mois de vide, François Missen et Antoine Darnaud ont été libérés. Auparavant, ils auront dû avouer leurs fautes au cours d’une conférence de presse télévisée où questions et réponses étaient préparées. Rien n’a donc changé depuis L’aveu et Artur London. Quant à Osman Baraï, il n’a pas été libéré. C’était un Afghan, lui.