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Ce livre vise à réexaminer la production historique, ethnographique et anthropologique dans divers espaces de la Sénégambie à la lueur des sources archéologiques et de la culture matérielle. Tout comme la langue, la culture matérielle et les formes intangibles de l'identité sont aussi de puissants vecteurs de transmission, d'affirmation et du maintien de l'identité. En Sénégambie, l'archéologie a jusqu'ici joué un rôle très négligeable dans ce domaine. Elle a longtemps été cantonnée à l'étude de périodes dites « préhistorique » et « protohistorique » qui, en dehors des cercles académiques, ne sont généralement pas connues par les populations locales et les griots ou autres communicateurs traditionnels. Tout comme l'écriture, l'oralité reflète et privilégie les ambitions de ceux qui la maîtrisent. On estime que l'archéologie peut favoriser une connaissance plus inclusive car la production, la consommation, le rejet et le recyclage de la culture matérielle qui en est la source essentielle concernent toutes les couches d'une société quelle qu'elle soit. Cet ouvrage est donc conçu dans une perspective de démocratisation du savoir en ce sens qu'il prend en compte la vie sociale et les identités des individus ordinaires, généralement invisibles dans les sources écrites ou orales.