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Enfin Yvette Horner — œil noir, cheveu noir, lèvres coquelicots — nous ouvre son cœur et sa mémoire. Toute une vie de lumières et de musique sur fond de cocagne et de lampions défile dans son premier livre. Cet hymne à la joie est d’abord un hymne à l’amour. Entre les lignes, on devine les partitions heureuses et la valse des notes tourbillonnantes. On y entend son rire sonore et son accent chantant qui respire à fond le terroir et les Pyrénées. Elle est née pour être une étoile. A quatre ans, on l’asseoit derrière un piano. A huit, elle entre au Conservatoire de Toulouse. Aujourd’hui troquant le « piano des pauvres » pour un authentique Steinway, elle retrouve Liszt et ses amours d’enfance. Yvette Horner aurait pu devenir une grande pianiste classique, mais ses parents ont choisi pour elle, Yvette serait accordéoniste ! Le bal musette y a gagné sa princesse aux doigts de fée et le Tour de France cycliste, s’amuse sans maillot jaune. Elle en a « couru » onze, en tête de peloton, juchée sur le toit d’une voiture conduite par son mari. Elle a donné aux Six Jours de Paris leur air de fête populaire et transmis, pour toujours, la nostalgie du Vel d’Hiv. Mieux que tout, Yvette a traversé les époques et les modes sans se démoder.