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Quelle image gardons-nous de Wilfrid Laurier ? Un monument ? Un grand premier ministre ? Un Houdini de la politique capable de survivre à tout ? André Pratte révèle pour nous un personnage infiniment complexe aux prises avec la tourmente politique qui a marqué le début du XXe siècle. Laurier a voulu donner une cohésion à un pays profondément divisé après la Première Guerre mondiale, s’attaquant aux questions épineuses des droits des minorités, de la coexistence des cultures et des tensions régionales. Orateur d’exception – sa défense de Riel fait peut-être de lui le plus grand tribun de l’histoire du Canada –, il s’adressait à son auditoire comme si tout le monde partageait son intelligence et son érudition. Pratte brosse le portrait d’un homme qui n’a pas eu à se forger une stratégie originale pour affronter la complexité de la politique canadienne, puisque cette complexité était inscrite au plus profond de lui. Il en ressort la figure d’un Laurier maître des ambiguïtés, aussi bien dans la vie publique que dans sa vie privée, ce qui en fait un politicien d’une étonnante modernité.