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En 1992, lorsqu'on célébra les 500 ans du débarquement de Christophe Colomb aux Amériques, les Amérindiens prirent le deuil. Pour eux la « Découverte » n'était rien d'autre que le début de la grande « Invasion ». Car la grande épopée de l'Ouest et de la Frontière, telle que la raconte Hollywood, avec ses fiers cowboys et ses farouches Indiens à plumes, ne se lit pas du tout de la même manière quand on a été expulsé de chez soi, décimé par des maladies importées, et qu'on est désormais considéré comme indésirable sur le territoire de ses ancêtres. L'Indien demeure le thème exotique le plus inusable du cinéma et de la littérature dite d'aventure. En imaginant et en « imageant » les sociétés amérindiennes conformément à nos rêves, nous avons oublié qu'elles n'étaient, et ne sont, ni meilleures ni pires que les autres : différentes, nées d'une autre histoire, évoluant dans une dynamique propre. Heureusement l'Histoire ne s'arrête pas là...