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Ils le surveillent, Ils le poursuivent, Ils en ont après sa vie. Vytautas Vargalys le sait : Ils sont partout et Vilnius Leur appartient. Bibliothécaire chargé de référencer les œuvres dangereuses qu’Ils ont mises à l’index, son combat est de déjouer Leurs pièges. Gardien de l’histoire, le dernier des Vargalys sombre dans un délire alimenté par un brûlant sentiment d’abandon. Seule Lolita, sainte séductrice au passé trouble, arrive à le convaincre que vivre est possible. Hallucinante épopée paranoïaque, Vilnius Poker est une proclamation de la toute-puissance de la liberté qui fit l’effet d’une bombe à sa publication et fut la catharsis d’un peuple bâillonné, propulsant Ričardas Gavelis (1950-2002) au rang d’immense écrivain. C’est Dostoïevski. C’est Kafka et Burroughs. C’est Kundera.
Ričardas Gavelis est né en 1950 en Lituanie. Physicien, il se consacrera à l’écriture et au journalisme à partir de la fin des années 1970. Auteur de six romans, de nouvelles et de pièces de théâtre, c’est à la parution de Vilnius Poker, en 1989, qu’il devient l’un des auteurs majeurs de la littérature balte. S’affranchissant de toutes les censures dans un pays administré par l’Union Soviétique, ce roman politique et surréaliste fut une véritable bombe littéraire. Il meurt à Vilnius en 2002.