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À la radio, on commémore les 40 ans de l'abolition de la peine de mort.Sylvie Tanette se souvient des débats de 1981. Elle est alors lycéennedans les quartiers Nord de Marseille et le sujet la touche. Un de sescousins a été condamné à perpétuité pour homicide. Plus tard, unautre écopera de 20 ans de réclusion pour meurtre. Comment expliquercette violence ? Pour la journaliste à présent parisienne, envahie parles souvenirs de sa famille (sarde côté maternel, piémontaise côtépaternel) installée depuis la fi n du XIXe siècle dans la cité phocéenne, ilest temps de retourner là-bas. D'agiter souvenirs et silences pour cernerce qui l'a construite.En remontant les traces de l'immigration massive des Italiens à traversle prisme de l'intime, Sylvie Tanette propose un récit singulier traversépar une colère souterraine et une saine autodérision. Dans les rues del'Estaque, dans les conversations avec ses proches ou glanées au café,dans les livres qui la nourrissent, c'est aussi le langage qu'elle interroge,la littérature comme horizon pour refuser la fatalité.