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Pour tous ceux qui, éblouis, ont aimé {Un tramway nommé Désir} ou {Sur les quais}, Elia Kazan est le dernier mythe vivant du rêve américain et de son cinéma, de ses légendes. Pourtant, ce Grec d'Anatolie arrivé aux Etats-Unis à l'âge de quatre ans, n'est pas un mythe simple. Dans cette autobiographie, on découvrira à la faveur d'une terrible lucidité, son goût pour l'ambiguïté, dont il s'est fait une étrange réputation. {Une vie} raconte aussi comment, dans les années trente, Elia Kazan devint membre du Parti communiste. Mais, bien vite, il en démissionne et, lorsque McCarthy déclare ouverte la chasse aux sorcières, Kazan accepte de témoigner devant la Commission des activités antiaméricaines. Beaucoup de ses amis ne lui pardonneront jamais et l'on attendait, sur ce sujet, ses aveux les plus graves. Aujourd'hui, Elia Kazan, cet homme pétri de contradiction et de générosité, révèle ce que furent vraiment ses "revirements" politiques, ses relations avec ses trois épouses, la genèse de ses films. Sous sa plume, c'est la résurrection de Hollywood, avec ses fantômes glorieux, de Zanuck à James Dean, de Marlon Brando à Sam Spiegel ou Vivien Leigh.