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Journaliste, Michel Droit l'a toujours été. Journaliste de plume et aussi de micro. C'est même à la radio qu'il fit ses débuts quand Paris se libérait. Donc, pour Michel Droit, le journalisme ne se divise pas. Il constitue un tout, qui englobe l'écriture, la parole et qui, en un temps, comporta même pour lui l'image télévisée. Voici pourquoi les articles et chroniques-radio qu'il a choisi aujourd'hui de réunir en livre, et qui portent sur une période allant de 1962 à 1982, il n'a pas voulu les présenter, les uns comme des articles, les autres comme des chroniques-radio. Sauf une, celle du samedi 12 septembre 1981, où il prit congé de ses auditeurs de France-Inter. On venait, en effet, de lui signifier que, pour cause de changement, le maintien de sa présence sur les ondes nationales constituerait un défi aux syndicats. Divers sont ici les sujets et, souvent, la façon de les traiter. Politique, faits de société... Polémique, réflexion... Culture, morale, etc. Mais avec, toujours, pour dénominateurs communs : la conviction, la rigueur, la vigueur. Et un amour intransigeant de la liberté, aussi bien lorsqu'il s'agit de défendre le peintre communiste mexicain Siqueiros, arbitrairement emprisonné dans son pays, que les intellectuels soviétiques jetés dans des asiles psychiatriques, sans doute afin de bien montrer qu'il faut être fou pour vouloir échapper au paradis socialiste. Un livre de journaliste et d'écrivain. Un livre d'un bout à l'autre engagé, où l'on retrouve, plus d'une fois, le souffle pamphlétaire de La coupe est pleine.