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Depuis leur émergence au 19e siècle, la littérature met en scène des noms de marque et suscite ainsi un sentiment de familiarité chez le lecteur ou la lectrice qui les reconnaît. Leur usage dans des textes de fiction, d'abord sporadique, s'accentue à la fin du 20e siècle, pour devenir fréquent au tournant de l'an 2000. Le recours à un discours issu du monde commercial s'apparente alors à un geste "réaliste" de la littérature contemporaine, qui rompt avec le panfictionnalisme postmoderne.
Marie Fleury Wullschleger se penche sur un procédé littéraire répandu, mais au sujet duquel il n'existe à ce jour que très peu de travaux de recherche. Dans une perspective comparatiste entre la France et l'Allemagne, elle examine les effets que le nom de marque provoque lorsqu'il apparaît à l'intérieur d'un univers fictionnel. Adoptant une démarche tant systématique qu'historique, l'auteure interroge la dimension référentielle de la marque, sa capacité à être traduite dans un contexte socioculturel différent, et la trace indexicale qu'elle laisse immanquablement dans le texte.