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Un récit autobiographique ? Un roman grammatical ? Un témoignage sur l’ancien Tanger, d’avant 1956 ? Une chronique des années 40 et 50 ? Tout cela à la fois ?… Je n’ai pas pensé à ces catégories en l’écrivant. Depuis 2006 (Terrasse à la Kasbah), j’ai raconté cette histoire, avec ses anecdotes, ses digressions, ses raccourcis, ses hésitations, ses apories, ses répétitions, ses contradictions, ses retours en arrière… Sans me soucier de savoir où cela mènerait ; mon parcours s’est imposé ainsi au fur et à mesure de l’écriture. Maintenant que j’ai terminé, je regarde Une Grammaire de Tanger comme une vraie fiction, avec ses personnages et son narrateur, le petit Jule, écolier rétif aux prises avec la grammaire. Mais y a-t-il seulement lieu de différencier fiction et non fiction, puisque, dans un cas comme dans l’autre, ce sont les mêmes mots, les mêmes règles fixes qui sont à l’œuvre ?