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Née en 1877 à New York, Consuelo Vanderbilt est issue d’une dynastie de milliardaires américains. Mariée contre sa volonté au 9e duc de Marlborough, elle devient alors membre d’une aristocratie anglaise dont les codes de conduite lui sont imposés. Elle mène la vie de la café society, qui de châteaux en hôtels de luxe, de cours européennes en stations à la mode, suit les événements mondains. Dans cette Angleterre victorienne finissante mais déjà cosmopolite, elle côtoie la reine Victoria, Édouard VII, la reine Alexandra, la famille impériale russe et de nombreuses personnalités artistiques ou politiques, tel Winston Churchill, son cousin par alliance, dont elle devient la confidente. Séparée de son époux en 1906, la duchesse s’engage dans de nombreuses actions sociales. Elle crée des centres d’accueil pour filles-mères et milite pour les droits des femmes. Divorcée en 1921, elle épouse Jacques Balsan, aviateur français, avec qui elle fréquente les têtes d’affiche de la vie parisienne. Cependant, Consuelo Vanderbilt Balsan demeure une philanthrope, qui s’occupe d’un sanatorium ou réunit les fonds nécessaires pour la construction de l’hôpital Foch. C’est cette succession de mondes (New York, Londres, Paris) et d’époques qui fait de ce récit une chronique passionnante. Avec recul et lucidité, élégance et humour, l’auteur nous dépeint les moeurs, les fastes et les ombres d’un monde finissant. Et c’est toute la valeur de ce précieux témoignage d’une femme privilégiée et intelligente qui aura su voir l’essentiel et aura compris que tout ce qui brille n’est pas d’or.