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Adolphe faisant la connaissance de Lucien et recherchant son amitié sait-il que celui-ci est l’amant de sa femme ? Pour Germaine, sa liaison avec Lucien, faite de rencontres dans des cafés, des hôtels anonymes, de promenades dans les rues tristes d’une ville provinciale, sera lentement empoisonnée par cette incertitude. Pour Lucien, cet homme n’est qu’un inconnu qu’il rencontre par hasard et dont les tentatives d’amitié l’importunent ? Mais un jour, il le reverra en compagnie de Germaine. C’est donc Adolphe, le mari... que désormais il retrouvera sans cesse sur son chemin. A partir de cet instant, entre Germaine et Lucien, c’est la progressive dégradation d’un amour qui révèle toute sa précarité au contact de leur angoisse. Mais qui est Adolphe ? Que sait-il ? Cherche-t-il à briser l’amour des amants par des manœuvres troubles, est-il un mari complaisant, ou bien n’est-il qu’un pauvre homme enfermé dans sa solitude qui, en toute innocence, ne recherche qu’un peu d’amitié près de Lucien, qu’un peu d’amour près de Germaine ? Ou bien à travers quelle angoisse, au fond de quel abîme veut-il les entraîner ? C’est le drame, étouffé par la grisaille de la vie quotidienne, de pauvres êtres qui n’aspirent qu’au bonheur, qui le recherchent à la mesure de leurs faibles forces, frôlant des paradis inaccessibles, et que la solitude, l’incompréhension, l’impuissance à communiquer empêchent de s’aimer.