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En 1480, les principaux officiers du duc de Bourbon, au premier rang desquels se trouve le chancelier, sont mis en accusation pour avoir attenté aux droits du roi. Après une enquête sur le terrain, un procès s’ouvre devant le parlement de Paris. Il donne lieu en juillet 1480 à de riches plaidoiries où sont détaillés tous les excès, usurpations de cas royaux et autres « exploits » de juridiction souveraine censés avoir été commis par les hommes de Jean de Bourbon. C’est autour de cette procédure qu’a été écrit le présent livre.Pour en comprendre les enjeux, l’étude a repris à nouveaux frais la politique de Jean II de Bourbon dans ses territoires pour en comprendre la portée et saisir les fondements des accusations royales. Elle montre que le projet politique de Jean II, mis sur pied dans les années 1470, a été axé sur la réforme de la justice, dont les fondements divins et les implications souveraines ont pu être jugés attentatoires aux intérêts de la couronne par les agents royaux. Ainsi, le procès de 1480, qui a été pensé comme l’occasion de donner une leçon de souveraineté au duc de Bourbon, doit être lu comme la confrontation non seulement de deux pouvoirs, mais aussi de deux conceptions du pouvoir.Le livre s’avère une contribution de premier plan à la question essentielle des rapports politiques entre Louis XI et les princes.