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La « cloche » ! Comment vivre cet état, dans l’œil des autres surtout, en ce vingtième siècle finissant. Michel Franceus nous propose quelques journées d’errance, à la suite de Georges — un homme ordinaire que les malheurs ont amené à se désintéresser de tout — de la courée-refuge aux rues du Vieux-Lille. Il nous fait découvrir tout un peuple de paumés en quête de combines et de petits boulots ; les prostituées tapinent au bord d’un parking où les clochards soutirent quelques francs aux automobilistes ; un air d’accordéon suinte d’un bistrot arabe ; un vieux curé se ratatine dans son confessionnal en écoutant les fausses horreurs que Georges lui débite histoire de voir jusqu’où il tiendra… Des journalistes bien (trop bien ?) intentionnés, en quête de « vérité humaine » vont apporter le trouble… Peut-être que la vie redémarrera… Humanisme, ironie, force du trait, l’écriture de Franceus travaille au fusain, cerne de traits rapides les silhouettes et les atmosphères. Un très beau texte qui transcende le cadre dans lequel il se situe pour dégager un archétype d’une catégorie de l’humanité qui rame pour rester au mieux sur place. Mais c’est aussi une façon de vivre…