Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Génie dévergondé, enragé d'idées folles et d'idées fixes, d'écriture et de femmes, de fiel et de fesse, Nicolas-Edme Rétif ou Restif, dit « de la Bretonne », a beaucoup trop écrit, pour se donner le mal d'écrire dans les règles, et beaucoup trop vécu pour se donner celui de vivre en honnête homme. Desservi - de son vivant déjà - par l'extravagance de sa vie et de son œuvre, il reste le plus illustre des méconnus de notre littérature, et le personnage le plus déconcertant d'un siècle qui n'en a pas été avare. Or, cette vie et cette œuvre sont intimement liées. On ne comprend pas l'une sans l'autre. Fornicateur, imprécateur et fabulateur, l'inclassable et désespérant Rétif nous a paru mériter un regard nouveau. Plutôt que de parler de Rétif, Jacques Cellard a choisi de le laisser parler, et s'est contenté de l'accompagner d'un commentaire en contrepoint, à la fois désinvolte et savant, amusé et pénétrant, dans le ton même de ce XVIIIe siècle frivole et profond. À double texte, double plaisir, double lecture, double bonheur… C'est celui que nous vous souhaitons.