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Vers minuit, Marie Delmas, 25 ans, heurte avec son véhicule une femme et son bébé. Elle est en état d'ébriété. En attendant le jugement, Marie est placée en détention provisoire à Fleury-Mérogis. On lui annonce que le bébé est mort sur le coup et que sa mère se trouve dans un état critique. Mais Marie ne s'inquiète que pour son propre fils, désormais confié à la DDASS. En prison, elle prend conscience de la gravité de son acte. Elle y fait la connaissance de détenues qui l'aident à supporter la rudesse des conditions de vie. Dora, Rosine et Carole, toutes à Fleury pour des raisons différentes, se soutiennent au quotidien. Marie se lie en particulier avec Gaïa, qui a été condamnée à vingt ans pour le meurtre d'un policier lors d'un casse. L'amitié entre les deux femmes se mue peu à peu en un autre sentiment À la fin de l'été, le verdict tombe. Marie est condamnée à quatre ans avec sursis. Elle repartira comme tant d'autres, à jamais marquée par son " été à Fleury ". Le roman dépeint le quotidien des femmes emprisonnées (mauvaise nourriture, fouilles de cellules, matonnes cruelles, bagarres, mitard, suicide de codétenues ). Autant de scène véridiques : du lancement d'une pétition pour la création d'un point d'eau permanent à la crise d'hystérie de Dora, de la grève de la faim de Rosine au " bébé parloir " de Dominique.