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Version entièrement révisée et considérablement augmentée du chapitre-clé du Livre Noir du communisme s’appuyant sur les archives soviétiques ouvertes après la chute de l’URSS, cette somme, fruit de décennies de recherches, analyse la dimension majeure du fonctionnement de l’État-Parti soviétique : la violence exercée sur son propre peuple. La collectivisation forcée, véritable guerre contre la paysannerie qui constituait alors 80 % de la population, les famines qui en ont résulté, la Grande Terreur et ses centaines de milliers de fusillés, le Goulag et la répression généralisée de millions de « citoyens ordinaires » reçoivent, sous la plume de l’auteur, l’éclairage le plus documenté et le plus pertinent qui soit. Après avoir été, durant un court moment, reconnue dans la Russie post-soviétique, la face sombre de l’expérience soviétique est à nouveau niée par le régime actuel. Une mémoire des crimes de masse du régime soviétique, des crimes commis en premier lieu contre son propre peuple s’imposera-t-elle un jour en Russie ? se demandait, en 2013, Arseni Roginski, le président de l’Association Mémorial. Douze ans plus tard, hélas, il apparaît que ce jour hypothétique s’est encore éloigné. Or, sans mémoire historique digne de ce nom, nous rappelait cette figure majeure du combat pour les droits humains, « l’éclosion d’un système normal de valeurs sociales, dans lequel la vie, la liberté et la dignité humaine seraient absolument prioritaires par rapport aux intérêts du pouvoir d’État ne peut tout simplement pas advenir ».