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« Je pourrais buter cet enfoiré d’ici les yeux fermés », propose l’attaché militaire britannique à Berlin qui détaille son plan d’action à sa hiérarchie en 1939.
Sur les 42 tentatives d’assassinat recensées pour tuer Hitler, une majorité est due à la résistance allemande qui, très tôt, comprend l’appétence guerrière d’Hitler. De simples citoyens, des ouvriers, des étudiants, des conjurations de généraux échafauderont des attentats et presque tous connaîtront le même sort : décapités, pendus à un croc de boucher ou fusillés. Les grandes puissances comme l’URSS, la Pologne et la Grande-Bretagne ont toutes élaboré leur plan. Dans les archives secrètes récemment révélées par les Anglais, toutes les habitudes d’Hitler sont répertoriées : lieux de vie, heure de promenade, choix de boissons, comme le thé au lait ou la bière… Et toutes les possibilités pour l’assassiner sont envisagées : empoisonnement, explosion, tireur d’élite… Des voyous, ou des femmes, proposeront même leurs services.
Quand Hitler n’écourte pas l’un de ses discours ou n’annule pas l’une de ses visites, la météo et les impondérables se chargent de protéger le dictateur d’une mort certaine.