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Le cœur battant de l’histoire n’est pas l’affrontement titanesque du Bien contre le Mal, écrit Vassili Grossman dans Vie et destin, c’est plutôt l’assaut désespéré du mal contre la minuscule graine d’humanité qu’aucune guerre ni aucune violence n’a su pulvériser.
Ce livre raconte l’histoire d’une amitié entre Mélikah Abdelmoumen, une Gadji (une «non-Rom»), et des membres de la communauté tsigane de Lyon qu’elle côtoie depuis des années. Parmi eux, la jeune Florina et sa famille. Le récit décrit la violence qui s’exerce à l’encontre des habitants des bidonvilles et narre les combats et les errances de marginaux aussi démunis que débrouillards, astucieux que généreux. Il rend hommage à toute la constellation de personnes anonymes qui, de mille façons, refusent de laisser quiconque à l’abandon et contribuent ainsi à entretenir ce minuscule grain d’humanité sans lequel nous serions perdus.
Il ressort de ce texte une réflexion parfois dure sur l’entraide, un portrait intime du peuple tsigane, et surtout, une défense et illustration de la force irréductible de la petite bonté.