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Le Château de Moulinsart, c’est bien l’Élysée, bravo ! Le capitaine Haddock c’est bien Christian Poitevin et Tintin, votre serviteur. Mais, pour tout le reste, il n’y aurait que malveillance, voire bévue, à imaginer que Rastapopoulos est un homme d’affaires-député-ex-ministre et brasseur de vent force 10 sur la Licorne, que Bianca Castafiore s’est reconvertie dans l’écriture pour briguer un grand prix littéraire, que Pleksy-Gladz a été maire à poigne d’une ville portuaire pendant plus de trente ans, que le colonel Sponsz est un sinistre homme politique brun, jouant de la démagogie comme le commun des mortels s’adonne au hockey sur gazon. Pour être clair, quota est un nom commun et non propre. Maintenant, si l’imagination du lecteur est débridée au point d’imaginer que cette nouvelle aventure de Tintin se déroule en Provence (France), c’est qu’il prend ses désirs pour des réalités. Ce qui est certain — et vérifiable — c’est qu’une partie perdue par 593 points contre 29 433, ne saurait être une partie achetée. Une certitude affirmée haut et fort. Mille millions de mille sabords.