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Constituée dans les années 1970 à partir des pensées marxistes et keynésiennes, la théorie de la régulation est devenue une approche économique cruciale qui offre une alternative robuste à la théorie néoclassique. Depuis l’« état des savoirs » publié en 1995, la théorie de la régulation a beaucoup évolué. Elle n’est plus seulement identifiée à une recherche de type macroéconomique (modes de régulation des économies nationales et du capitalisme mondial). Elle traite aussi désormais des entreprises et de champs sectoriels classiques (automobile, agroalimentaire…) comme plus originaux (éducation, santé, ESS, RSE…) ainsi que de problématiques transversales fondamentales (écologie, genre, connaissances…). Faisant intervenir une centaine d’universitaires spécialistes de divers champs de la socio-économie et prenant en compte cette extension des champs de recherche régulationnistes, cet ouvrage s’impose comme le « nouvel état des savoirs ». Il sera un outil de travail efficace et durable pour la communauté étudiante – du master au doctorat – comme pour les chercheurs et chercheuses avancés et constituera une référence pour intégrer les transformations structurelles de la société à une économie politique renouvelée. Ouvrage coordonné par Robert Boyer, chercheur associé à l’Institut des Amériques à Paris, Jean-Pierre Chanteau, maître de conférences HDR en Sciences économiques à l’université Grenoble Alpes, Agnès Labrousse, professeure en sciences économiques à Sciences-Po Lyon et Thomas Lamarche, professeur en sciences économiques à l’université Paris Cité et directeur du laboratoire LADYSS (UMR CNRS, Universités Paris Cité, Paris 1, Paris 8, Paris 10).