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Tout en ayant sensiblement élargi leurs champs d'intérêt, les analyses critiques de la danse, du théâtre et des arts plastiques se cantonnent toujours aux frontières traditionnelles de leurs disciplines. Cet ouvrage propose une synthèse riche et innovante des pratiques intermédiales s'en prenant directement à l'approche puriste de la critique moderniste, plus particulièrement au débat autour de la théâtralité de l'art minimal lancé en 1967 par Michael Fried. En franchissant les frontières géographiques et les différents courants de la pensée moderne notamment celle de Bertolt Brecht, Marcel Duchamp et Antonin Artaud, l'auteure approche de manière globale cette volonté artistique de transgresser les schémas institutionnels à partir d'une théâtralité hybride qui défie les limites établies entre les genres, mais aussi entre l'oeuvre et le spectateur, l'art et la vie. L'ouvrage est enrichi par l'étude approfondie de six artistes qui, depuis la fin des années 1970, défient la doctrine moderniste par des formes « impures », à la croisée des arts plastiques et des arts de la scène. Jeff Wall, Cindy Sherman, Tony Oursler, Elizabeth Le Compte, Romeo Castellucci et Jan Fabre mettent en crise la représentation appelant à une perception critique qui redéfinit, de manière radicale, la place du spectateur. Cette double approche, à la fois panoramique et monographique, permet à cet ouvrage de servir de véritable réflexion de référence sur l'intermédialité et l'histoire de la culture au vingtième siècle, tout en ouvrant dans le champ universitaire et au-delà, dans celui de la critique, des pistes fécondes et inédites.