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L'analyse du symptôme pose toujours un problème délicat au psychanalyste. Il est étroitement lié à la structure dont chacun dispose intérieurement pour assurer et gérer notre être au monde, enracinée dans les parties les plus inaccessibles de l'inconscient. Pour déjouer ces pièges, le psychanalyste disposede certains moyens tels le recours à des cas devenus des classiques, la référence à la nosographie psychopathologique, la confrontation entre psychanalystes, les contrôles, l'éclairage par les oeuvres culturelles....La voie explorée par l'auteur est une confrontation entre le symptôme et l'oeuvre. Loin d'être un système fermé, le symptôme est un véritable organisateur dans l'espace, accessible par l'intermédiaire du transfert parce qu'il est lui-même un effet de transferts. "Quand le symptôme nous accable et nous enferme dans l'une de ses passes difficiles, il suffit parfois de se laisser prendre quelques instants à une oeuvre dont on est particulièrement épris pour éprouver un authentique soulagement. Cette expérience la psychanalyse l'utilise et la pousse à son extrême.... Le message est clair, si l'on ne guérit pas du symptôme principal c'est parce qu'il constitue un compromis permanent... Même convertible et surtout s'il est convertible, le symptôme n'aura jamais fini de nous poser des questions."