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Paysans est le mot propre. Cœur est le mot acceptable par tous : esprit, âme, être… cultivateurs, céréaliers, viticulteurs, arboriculteurs, éleveurs, maraîchers, polyculteurs, pépiniéristes, agronomes... chacune et chacun s’y retrouvent. La « souffrance au travail » existe depuis la nuit des temps. Elle mixe la soumission aux plus forts, aux plus puissants, mais aussi à un patron despote, à un syndicaliste totalitariste, à un riche, à un des siens, avec sa passion. On abuse de sa passion. Voilà où peut se nicher la pensée suicidaire. La soumission est aussi à l’économie, au marché, aux normes ; elle est encore à nos habitudes, à notre origine, aux intempéries, au relief, à la nature des terres, aux incompréhensions familiales, aux jalousies d’amour et de succès. Elle se promène dans nos gênes psychologiques, par descendance et héritage, ou nécessité, ou choix plus ou moins imposé, ou passion exprimée et réalisée. Nous n’avons pas par hasard une « âme de paysan », un « travail d’agriculteur » !