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Entre 1850 et 1854, Dostoïevski est emprisonné dans la forteresse d'Omsk, en Sibérie, où il purge une peine pour des raisons politiques. Les quatre années qu'il y a passées, reconstituées dans "Souvenirs de la maison des morts", ont été les plus angoissantes de sa vie. Le personnage narrateur est un ancien uxoricide qui, après sa sortie de prison, est assailli par les souvenirs et le besoin de témoigner. Ses mémoires acquièrent ainsi l'urgence d'un reportage en direct, un récit d'une formidable puissance expressive construit sur la succession d'images iconiques de l'abîme carcéral. Tout est présent dans ce roman : la lutte quotidienne pour la survie, les lits en planches, la soupe aux choux où nagent les cafards, son étrange « famille » de forçats vantards, laids et cruels. Pourtant, La maison des morts est bien plus qu'une œuvre de réalisme documentaire : c'est aussi un puissant roman de rédemption, décrivant la mort spirituelle et morale d'un homme et le miracle de son réveil progressif.