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"Je n’écris plus, mais je guette le moment propice, dans une atmosphère mentale à la merci des sautes d’humeur et des coups de vent. Je fais des nœuds à des cordelettes, qui me servent d’aide-mémoire et d’alphabet. Je jette un filet sur les choses, pour les protéger de l’orage et du néant. J’amortis les chocs avec le réel. Je compare, et j’allume des lampes dans le grand bal des métaphores. Je finis par noter des phrases que je sais par cœur, pour passer aux suivantes."
Dans Silhouette parlante, vers et prose alternent, envers et endroit d’une même songerie, pour recueillir les bribes que le rêve ou le souvenir veulent bien donner à l’écriture difficile à naître de celui qui "n’écrit plus". L’imaginaire rencontre la féerie, effrayante parfois comme dans les contes, et les objets, tessons du passé, se frottent aux citations fragmentaires, tessons de la bibliothèque. De l’impossibilité d’écrire toujours à l’évocation de la mort, de plus en plus pressante, le livre revient à l’enfance pour s’achever en apnée, "poche d’air sous l’avalanche".