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Ce livre est le premier reportage occidental depuis 1917 sur la Sibérie. Pour certains pays comme la Yakoutie, république du froid, que les géographes appellent la “partie la plus sibérienne de la Sibérie”, il est certainement le premier reportage tout court. Jusque là, l’auteur ne connaissait de la Sibérie que le trajet solidement éprouvé du Transsibérien. Tout au long, le paradoxe sibérien domine : à vingt kilomètres de distance, on passe sans transition de mille ans avant J.C. — à l’an deux mille. C’est une des terres où la vie paraît impossible. Pour s’y maintenir l’homme doit “construire” des miracles. Et il les construit. Pour donner tout son sens à la chose vue, il faut la placer non seulement dans son contexte géographique, mais aussi historique. C’est pourquoi, Armand Gatti s’est efforcé, pour la première fois, de reconstituer, à l’aide notamment de vieux textes chinois, l’histoire de la Sibérie de l’origine des peuples à nos jours. Ainsi, l’histoire et le reportage destiné à l’illustrer se côtoient-ils jusqu’à se confondre dans le dernier chapitre, tout comme dans la réalité sibérienne où, sur la même piste, passent aujourd’hui les traîneaux à chiens et les chenillettes télécommandées qui s’apprêtent à conquérir la Lune.