Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Ce livre est une déclaration d’amour-passion pour une reine, Séville, et une invitation à rêver en son royaume, l’Andalousie. Dans la plus haute lignée des écrivains français amoureux de l’Espagne — Mérimée, Gautier, Montherlant… — Jean Cau, au rythme de ses Sévillanes, voit et chante, offre et dévoile sa Séville, son Andalousie, son Espagne, comme on le ferait d’une amante à l’égard de laquelle on éprouve une passion jalouse. Peintre, il peint la célèbre Semaine Sainte sévillane avec un bonheur inégalé. Aficionado, il initie le lecteur au monde d’ombres et de lumières de la tauromachie à travers la plus fameuse des Ferias. Mais, et là est le sortilège du livre, Jean Cau, à propos de Séville en pleurs et en fêtes, fait l’école buissonnière pour raconter des « histoires », tracer des portraits, graver des caprices goyesques, donner vie à Dom Juan ou à ses émules toreros, évoquer le flamenco, inviter enfin à comprendre ce tragique que l’Espagne mêle toujours à son génie picaresque. Aussi bien Sévillanes, le plus beau chant qu’ait inspiré une terre étrangère à l’amour sorcier (et sourcier) d’un écrivain français, est-il l’aveu secret d’un exil lorsqu’on a connu, là-bas, des paradis.