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Lorsque Jean visite la bergerie que met en vente son ami Max, il sait qu’il a enfin trouvé son paradis. Entourée par les broussailles, cette vieille bâtisse aux murs de galets, au plafond soutenu par d’énormes poutres, ressemble à un monastère tibétain perdu dans le Lavandin, idéal pour se retirer du monde et se remettre de plusieurs divorces et d’autant de petits boulots ingrats. Aucun bruit, ni télé, ni tondeuse, ni couinements de gosses, seuls quelques coups de fusil rappellent que la bâtisse se situe au milieu du terrain de jeu favori des chasseurs. Jean vit là, seul et bienheureux. Mais un matin, il découvre, comme tombée du ciel, une petite fille qui a mystérieusement trouvé refuge dans sa bergerie. Jean sait qu’il devrait alerter la police et les services sociaux. Mais Babou a les yeux si bleus et elle l’appelle Papa d’une voix si tendre... Peut être quelqu’un viendra t-il la récupérer ? Ses amis tentent de le mettre en garde : on l’accusera de pédophilie, d’enlèvement, de séquestration. Mais Jean ne se résout pas à l’abandonner. Un terrible piège se referme alors sur lui : Babou est retrouvée assassinée dans la propriété de Jean. La police le soupçonne immédiatement. Il est condamné à dix ans de prison et libéré cinq ans plus tard. Il n’a alors de cesse de prouver son innocence et de comprendre ce meurtre.