Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
En 1989, paraissait la première édition du livre de Myriam David Le placement familial : de la pratique à la théorie. C’est « vingt ans après » que se situe le présent ouvrage, rassemblant témoignages et réflexions de professionnels s’inscrivant dans le prolongement du mouvement d’idées novatrices qui, initié par cette grande clinicienne, a progressivement marqué tous les praticiens de notre domaine, et souvent leur pratique. Le sous-titre (« L’accueil familial : un soin psychique ») souligne que les auteurs des textes colligés ici articulent leurs contributions autour d’un postulat dont l’importance a été démontrée il y a vingt ans : « Tout placement en accueil familial doit comporter une dimension de soin psychique ». Alors que ce postulat est souvent mis en avant comme une figure de proue, la pratique montre qu’il reste toutefois difficilement appliqué dans la réalité quotidienne des divers dispositifs d’accueil familial. Cet ouvrage souhaite donc contribuer à l’intégration toujours plus grande d’une indispensable dimension thérapeutique dans toute pratique d’accueil familial d’enfants placés. Pour cela, il est peut-être nécessaire de rappeler que ce postulat a été peu à peu déterminé à partir des observations cliniques et des hypothèses théoriques proposées depuis une cinquantaine d’années par les pédopsychiatres qui avaient à rencontrer ces enfants et leurs familles.