Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
D’une part, une explosion de connaissances scientifiques et technologiques, d’autre part — les sondages le montrent — la réserve, voire la défiance d’une partie croissante de la population à l’égard d’un processus auquel elle se sent étrangère : René Le Guen n’hésite pas à désigner l’écart qui se creuse comme une impasse pour la civilisation. Car l’arrivée des nouvelles technologies, modifie les rapports de l’homme à son environnement, déplace les repères culturels hors desquels aucune vie humaine n’est possible. Dans cette situation, les mesures prises — avec le souci de préserver l’ordre social inégalitaire du capitalisme — ne font qu’aggraver les choses. Ainsi en est-il des États généraux de la culture scientifique et technique, convoqués par le gouvernement en cette fin d’année 1989. Une révolution des savoirs, dont René le Guen étudie les principales dimensions, est à l’ordre du jour : diffusion généralisée de la culture scientifique et technique, construction d’une éthique scientifique et développement de la démocratie. À défaut, la société, se scindant en « une avant-garde perdue et une arrière-garde traînante », verrait lui échapper le contrôle de son propre développement.