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Un homme a disparu. Il s’appelait Jules, Napoléon, Prosper, et le nom de son père. Antonin Crenn raconte.
Enfant, Jules grandit à Épinal, puis à Tours, suivant les déplacements de son père vétérinaire militaire. Orphelin à quinze ans, il est envoyé à Paris chez le musicien François Delsarte, rue des Batailles. Puis Jules rencontre Elmina à Montmartre et part en Espagne avec elle, embarqués dans l’épopée du chemin de fer naissant. Ils reviennent avec Maurice, leur fils né à Madrid. Quand Jules disparaît, il a cinq ans. Un an plus tard, le drame intime de Maurice et Elmina devient le sort de tout le monde : après les sièges de Paris et l’écrasement sanglant de la Commune, des milliers de pères et de mères sont notés absents. C’est cela aussi que raconte "Rue des Batailles" : une histoire de la violence politique, des démolitions à grande échelle, des bouleversements qui nous dépassent et nous englobent.
Autour de la figure absente, Antonin Crenn déroule un brillant récit en spirale, à la fois intime et historique ; traversée éminemment sensible et intelligente du XIXe siècle, en même temps que réflexion sur la mémoire dont nous choisissons ou non d’être les dépositaires.