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Quand l’état d’urgence sanitaire a été décrété en octobre 2020, ni le Parlement, ni les citoyens, sidérés, ne s’y sont opposés. Pourtant, notre démocratie souffre dans ses fondements même : la suite des régimes d’exception qu’elle connaît depuis plusieurs années donne des prérogatives toujours plus importantes à l’État. Surtout, l’épidémie de Covid-19 aura été une formidable occasion de banaliser les outils de contrôle et d’y accoutumer les citoyens. Cette manière de gouverner a des conséquences lourdes sur la justice et sur la société. Cela pourrait être plus grave encore si un parti extrémiste arrivait au pouvoir. L’avocat Vincent Brengarth et le journaliste Jérôme Hourdeaux sont à la fois les témoins privilégiés de la dérive à l’œuvre contre les libertés publiques et les vigies attentives qui la combattent tous les jours. En ces temps d’affaiblissement extraordinaire des contre-pouvoirs, ils dressent un bilan implacable du quinquennat Macron, du tournant répressif contre ceux qui concourent à l’expression de la pluralité des opinions (gilets jaunes, zadistes, lanceurs d’alerte…), de l’illusoire course à la sécurité. Pour mieux nous inciter à résister à la surveillance généralisée.