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L’Altaï, un nom qui résonne tel un mythe lointain et inaccessible. Aux confins de la Russie, de la Chine et du Kazakhstan, Jean-Paul Le Bihan gravit les flancs de cette terre de chamanes, pour atteindre, entre les sommets enneigés, les hauts plateaux à partir de la plaine sibérienne. Dans des décors éclatants, il reprend un itinéraire emprunté par l’Homme depuis l’âge du Bronze et parsemé d’anciennes et somptueuses sépultures gelées et de gravures rupestres. Archéologue, géographe, poète-écrivain et photographe, l’auteur multiplie les regards sur ce cœur battant de l’Eurasie. Une région suspendue entre histoire ancienne, vie traditionnelle et craquements d’une géopolitique qui, comme les secousses sismiques dont elle est sujette, menacent un équilibre qui avait traversé toutes les périodes de l’histoire de la Russie. Tourisme et mise en place de nouvelles Routes de la soie sont autant d’atouts et de périls pour l’Altaï, encore secrète et riche en métaux rares.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Né à Saint-Brieuc en 1944, Jean-Paul Le Bihan est enseignant et historien de formation.
Il pratique l’archéologie à titre bénévole depuis 1970. Il devient archéologue de la Ville de Quimper en 1983, ceci jusqu’en 2009, année de sa retraite.
Depuis 1988, il travaille sur le site protohistorique et antique de Mez-Notariou sur l’île d’Ouessant, et depuis 1990, il dirige le Centre de recherche archéologique du Finistère. Il consacre ses recherches à la commune de Quimper.