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« Je ne t’avais pas vraiment entendue la première fois que tu m’as fait cette remarque, il y a deux semaines : – Je croyais que dans le passé les gens voyaient en noir et blanc, comme sur les vieilles photos. C’était mignon, d’une pure poésie ; je l’avais même noté le soir sur mon ordinateur, dans ce journal de notre nouvelle vie ensemble. Avec ça, je croyais savoir t’écouter, être mieux qu’un père ordinaire pour sa fille. » Quand sa fille affirme qu’elle ne distingue plus les couleurs, il s’inquiète, comme il craint que cela ne réveille des conflits avec la mère de Rose, dont il s’est récemment séparé. Dès lors, il oscille entre la recherche fébrile d’un remède et l’espoir insensé que Rose mente. Suffit-il d’aimer sa petite fille pour être un bon père et la protéger de la violence de la vie ? Nicolas Le Golvan nous montre, avec justesse et tendresse, que ce sont souvent les enfants qui guident leurs parents.